Aux hasards de mes pérégrinations je trouve souvent des sites pouvant intéresser les profs sans qu'ils aient pour thème la techno. Je les déposerai dorénavant ici. Vous les lirez peut être. Vous les commenterez si ça vous tante. Libre à vous. JMR

jeudi 28 août 2008

Groupe CNW | HEWLETT-PACKARD (CANADA) | HP Canada et la Commission scolaire Lester B. Pearson offriront de nouvelles technologies mobiles aux classes de maternelle pour enfants de quatre ans

    MONTREAL, le 28 août /CNW/ - Hewlett-Packard (Canada) Co. et la
Commission scolaire Lester B. Pearson (LBPSB) ont dévoilé aujourd'hui une
entente en vertu de laquelle cent élèves de quatre ans pourront faire leur
apprentissage en classe à l'aide d'ordinateurs portables HP Mini-Note.
La LBPSB, une commission scolaire anglophone dont le territoire s'étend
de Verdun, au sud-ouest de Montréal, jusqu'à la frontière ontarienne, projette
d'offrir les petits ordinateurs portables HP 2133 Mini-Note dans quelque cinq
écoles faisant partie de la commission scolaire, de même qu'au Centre
international de langues de Pointe-Claire.
"Des recherches ont démontré que l'instruction en bas âge peut contribuer
à améliorer la réussite scolaire aux niveaux plus avancés", rapporte
Marcus Tabachnick, président de la Commission scolaire Lester B. Pearson. "En
offrant des ordinateurs portables aux enfants de cet âge, nous leur donnons
accès à des technologies qui constituent des outils d'apprentissage aux
niveaux plus avancés. Nous contribuons donc à améliorer leur développement :
en fait, nous leur donnons une longueur d'avance dans leur apprentissage."
Les avantages de l'instruction en bas âge pour les écoliers La LBPSB a
été la première commission scolaire au Québec à proposer le programme
"Maternelle pour les 4 ans" dans plusieurs écoles de son territoire. Offert
depuis l'automne 2007, le programme intègre pour la première fois cette année
la technologie HP. Différents choix s'offrent aux parents qui souhaitent
inscrire leurs enfants : (Lire la suite)

jeudi 21 août 2008

Le retour à l’école… en chiffres

Le retour à l’école… en chiffres

Le retour à l’école

2008

Partout au Canada, les élèves et les étudiants de tous âges seront de retour à l’école cet automne.

Voici quelques faits portant sur différents sujets concernant l’éducation au Canada.


La rentrée

5,2 millions — Le nombre total d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques au Canada en 2005-2006.

En baisse de près de 1 % par rapport à l’année scolaire précédente et de 3 % comparativement à celle de 1999-2000.


Voici le nombre d’inscriptions dans les écoles primaires et secondaires publiques pour l’année scolaire 2005-2006 dans les provinces et les territoires :

76 827 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques à Terre-Neuve-et-Labrador, en forte baisse par rapport à l’année scolaire précédente et en baisse de 18 % depuis 1999-2000.

21 948 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques à l’Île-du-Prince-Édouard.

142 304 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques en Nouvelle-Écosse.

114 820 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques au Nouveau-Brunswick.

1 216 293 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques au Québec.

2 118 544 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques en Ontario.

182 371 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques au Manitoba.

174 206 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques en Saskatchewan.

551 740 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques en Alberta, en hausse de 0,1 % par rapport à l’année scolaire précédente et de 1 % depuis 1999-2000.

589 388 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques en Colombie-Britannique.

5 459 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques au Yukon, soit un chiffre inchangé par rapport à l’année scolaire précédente, mais en baisse de 9 % depuis 1999-2000.

9 571 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques dans les Territoires du Nord-Ouest.

9 062 — Le nombre d’élèves inscrits dans les écoles primaires et secondaires publiques au Nunavut.

Sources : « Indicateurs des écoles publiques », Le Quotidien, le lundi 28 juillet 2008; Indicateurs sommaires des écoles publiques pour les provinces et les territoires, 1999-2000 à 2005-2006.


La profession d’enseignant

692 000 — Le nombre approximatif d’enseignants au Canada en date de juin 2008. De ces derniers, 33 % étaient des hommes et 67 %, des femmes. La majorité occupait un poste à temps plein (560 100 ou 81 %).

30,03 $ — Le salaire horaire moyen des enseignants à l’échelle nationale en date de juin 2008.

Source : CANSIM, tableau 282-0069 (Enquête sur la population active).


L’autobus scolaire

35 000 — Le nombre d’autobus scolaires au Canada en 2006. Veuillez noter que ces autobus sont aussi utilisés pour le transport des employés (SCIAN 2007 Classification 485410 Transport scolaire et transport d'employés par autobus).

Source : CANSIM, tableau 408-0010 (Industries canadiennes du transport de passagers par autobus et du transport urbain).


L’apprentissage précoce

Les filles et les garçons étaient très différents quant à leur disposition à apprendre lors de leur entrée à l'école à cinq ans, les filles réussissant mieux que les garçons dans plusieurs champs d’études.

Le sexe d'un enfant n'était qu'une des dimensions sur laquelle la disposition à apprendre variait. Deux autres dimensions essentielles étaient le niveau de revenu de la famille de l'enfant ainsi que le milieu familial.

En général, les filles de cinq ans surpassaient les garçons du même âge dans la disposition à apprendre. Les filles obtenaient de meilleurs résultats que les garçons quant aux aptitudes à communiquer, à l'attention et à la maîtrise du comportement, ainsi que pour l'autonomie relative à l'habillement. Les garçons dépassaient les filles qu'en ce qui concerne la curiosité seulement.

Les filles et les garçons arrivaient à l'école avec des capacités équivalentes dans plusieurs domaines. Il n’y avait aucun écart dans le vocabulaire passif, c'est-à-dire le vocabulaire compris par l'enfant quand on lui adresse la parole, et les résultats concernant l'effort de travail, le jeu coopératif et l'autonomie quant à la propreté étaient semblables.

Les connaissances et les compétences scolaires que l'enfant apporte à l'école peuvent contribuer à un apprentissage précoce. L'étude a permis d’évaluer la connaissance des nombres et la capacité des enfants à reproduire des symboles et à les utiliser. Ces aptitudes sont fortement liées à la réussite scolaire.

Source : « Étude : La disposition à apprendre à l'école pour les jeunes de cinq ans », Le Quotidien, le lundi 27 novembre 2006.


Combien en coûte-t-il pour assurer l’instruction d’un élève dans le système public?

9 704 $ — Le coût moyen pour assurer l’instruction d’un élève (en dollars courants) en 2005-2006, en hausse de près de 32 % par rapport à 1999-2000, lorsque le coût se situait à 7 357 $ (toujours en dollars courants). Par comparaison, le taux d’inflation a augmenté de 15,2 % pendant la même période.

Parmi les provinces, le coût annuel par élève en 2005-2006 variait entre plus de 10 000 $ au Manitoba et en Alberta et 7 650 $ à l’Île-du-Prince-Édouard.

Pour ce qui est des territoires, il en coûtait environ 18 500 $ pour assurer l’instruction d’un élève au Yukon et plus de 13 500 $ dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut.

Source : Indicateurs sommaires des écoles publiques pour les provinces et les territoires, 1999-2000 à 2005-2006.


L’apprentissage dans une économie mondiale

Parmi les meilleurs au monde — Le classement des élèves canadiens de 15 ans pour ce qui est du rendement en sciences, en lecture et en mathématiques.

Parmi les élèves des 57 pays participants, seuls ceux de Hong-Kong (Chine) et de la Finlande ont dépassé les jeunes Canadiens de 15 ans en sciences.

Seuls la Corée, la Finlande et Hong-Kong (Chine) ont surclassé le Canada en lecture et en mathématiques. Les élèves chinois de Taipei ont également surpassé ceux du Canada en mathématiques.

Les résultats de 2006 du Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA), une initiative conjointe des pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), indiquent que le rendement en lecture des jeunes Canadiens de 15 ans est forte. Toutefois, malgré leur rendement élevé en lecture, les jeunes Canadiens devront accroître leurs compétences au rythme de leurs camarades des autres pays situés en tête s'ils entendent conserver leur avantage à l'avenir.

Source : « La performance des jeunes du Canada en sciences, en lecture et en mathématiques », Le Quotidien, le mercredi 5 décembre 2007.


Les inscriptions à l’université

Le nombre d'étudiants inscrits dans les universités canadiennes a atteint un chiffre record pour une cinquième année consécutive au cours de l'année scolaire 2005-2006, dans la foulée de l'augmentation continue du nombre d’inscriptions d'étudiants étrangers et du nombre de jeunes adultes canadiens.

1,01 million — Le nombre total record d’étudiants inscrits dans les universités canadiennes en 2005-2006, en hausse de 3 % comparativement à 2004-2005. Cependant, cet accroissement était le deuxième taux de croissance le plus lent observé au cours de cette décennie.

Entre 1998-1999 et 2005-2006, les étudiants âgés de 18 à 24 ans ont été à l'origine des trois quarts de la hausse du nombre total d'inscriptions, ce qui est probablement attribuable à la génération de l'écho-boom (les personnes nées entre 1980 et 1995).

781 300 — Le nombre record d’étudiants inscrits à temps plein dans les universités canadiennes en 2005-2006.

58 % — La proportion de femmes inscrites au premier cycle à l’université en 2005-2006, soit une proportion qui est restée stable depuis 2001.

803 500— Le nombre total d’étudiants de premier cycle en 2005-2006, en hausse de 2,1 % par rapport à l’année universitaire précédente et en hausse de 22 % comparativement à 1995-1996.

80 200 — Le nombre record d’étudiants étrangers qui se sont inscrits dans les universités canadiennes en 2005-2006, en hausse de 6 % comparativement à l'année précédente.

7,7 % — La proportion d’étudiants étrangers, soit presque le double de la proportion enregistrée il y a 10 ans. La moitié des étudiants étrangers provenaient de l'Asie, et 46 % des étudiants asiatiques provenaient de la Chine.

Les universités canadiennes ont aussi continué d'accueillir un nombre important d'étudiants de l'Inde, de la Corée du Sud, du Japon et de Hong-Kong. En 2005-2006, le nombre d’étudiants en provenance de ces pays a continué d’augmenter.

Source : « Effectifs universitaires », Le Quotidien, le jeudi 7 février 2008.

Vous pouvez aussi consulter : Tableaux sommaires, Effectifs universitaires selon le niveau d'études et le programme d'enseignement; Effectifs universitaires selon le régime d'étude et le sexe, par province ; CANSIM, tableau 477-0013 (Système d'information sur les étudiants postsecondaires).


Les frais de scolarité pour les étudiants du premier cycle

4 524 $ — Le montant moyen que les étudiants de premier cycle à l’université ont payé en frais de scolarité pour l'année scolaire 2006-2007, en hausse par rapport à celui de 4 400 $ affiché l'année précédente.

En 1998-1999, ils avaient payé en moyenne 3 064 $ et, en 1988-1989, 1 185 $.

Source : « Frais de scolarité universitaires », Le Quotidien, le jeudi 18octobre 2007.


Premier en classe

1er— Le rang du Canada parmi les 10 premiers pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) quant à la proportion de la population âgée entre 25 et 64 ans ayant un grade universitaire ou un diplôme d'études collégiales.

7e — Le rang du Canada parmi les 10 premiers pays de l’OCDE quant à la proportion de la population âgée entre 25 et 64 ans ayant uniquement un grade universitaire.


Lire la suite sur http://www42.statcan.ca/smr08/smr08_119-fra.htm

mardi 5 août 2008

Canadian education | high school graduation rate | adult literacy rate

Education and Skills Overview
Details and Analysis
Details and analysis for the Education and Skills category will be available in September 2008.

Did you know...

. . . Canada’s high-school graduation rate is second only to the U.S., and its college completion is the best among 17 peer countries. Yet the adult literacy skills of four in ten working-age Canadians are inadequate.

On this page

* Putting Canadian Education and Skills in context
* How does Canadian education measure up?
* Has Canada’s performance improved over time?
* What are the strengths and weaknesses of education in Canada?
* What does Canada have to do to improve its grade?

Putting Canadian Education and Skills in context

In Canada, education is seen as the best route to earning a decent living and to enhancing personal growth and happiness. Educated people not only make healthier life choices but also make integral contributions to business innovation, productivity, and national economic performance.

There is a strong and direct relationship between education spending and educational attainment and, in turn, economic growth. A recent multi-country study from the European Commission found that if a country’s national average educational attainment is increased by a single year, aggregate productivity increases by 5 per cent. This would be the equivalent of adding more than $60 billion to Canada’s gross domestic product (GDP). Moreover, much evidence suggests that educated people make decisions that lead to healthier and longer lives. Education drives success.
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How does Canadian education measure up?
Canada’s best performance is in the Education and Skills category. Canada earns a “B” grade, and moves ahead of Japan this year to second place, behind Finland.
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Has Canada’s performance improved over time?
Canada’s grade dropped from an “A” in the earliest year for which we have data to a “B” in the most recent year of data. Although Canada’s performance has improved over time, Finland has extended its lead and is the only country to receive an “A” this year. Finland’s outstanding performance sets a new bar for an “A” grade in the Conference Board’s relative ranking system.
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What are the strengths and weaknesses of education in Canada?

Canada’s strength is in a public system that provides many Canadians with a good education and the basic skills they need to enter the workforce and achieve substantial success. The system’s primary focus is on delivering education to young people, aged 5 to 25. Over the past 15 years, raising the high-school graduation rate has become a major educational priority—a response to the growing consensus that high-school graduation is the base-level educational requirement for personal success in the labour market. While Canadians are at school, they become well educated, for the most part, in basic subjects like mathematics, reading, and science. Canada now has one of the highest rates of high-school and college completion in the world.

Paradoxically, Canada’s strength also contributes to one of two areas requiring improvement: The Canadian system is heavily weighted toward school-acquired skills—more so than in European countries. It lacks focus on work-based skills training and lifelong education that can be fostered outside traditional academic institutions. Furthermore, Canadian adults who have not been fortunate enough to acquire basic levels of education in school are at risk of slipping through the cracks.

Canada’s adult literacy rate is worse than it was a decade ago: Seven million working-age Canadian adults—about four in ten—do not have the literacy skills necessary to function in the workplace. Canada’s economic boom in the last 10 years has so far protected many of these people. Conference Board research shows, however, that people with low literacy skills have weaker attachments to the labour market and generally do not do well in economic downturns.
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What does Canada have to do to improve its grade?

To maintain its high ranking and even improve its grade, Canadians need to have access to education and skills outside the traditional school system. Currently, Canadian employers are notoriously low investors in workplace training programs. And of what they do invest, only a very small percentage—less than 2 per cent—goes to basic literacy skills. As a result, the Canadian training system does not compensate for people who, for various reasons, may not have acquired skills at school. Demographic change in Canada offers an opportunity to shift resources to a system that would enhance workplace training and focus on the acquisition of skills outside the traditional education system.

Canada also underperforms at the highest levels of skills attainment. Canada produces relatively few “high-end” graduates with Ph.D.s, especially those in challenging technical fields such as math, science, computer science, and engineering. The scientists and Ph.D.s that Canada does produce tend to congregate in research positions that may not be well connected to commercialization activities. Increasing the number of graduates with advanced qualifications in these fields is necessary for enhancing innovation and productivity growth—and ultimately for the future quality of life of Canadians.